Un blog comme une toile pointilliste, autour de thèmes liés à l'écriture, la littérature, la nouvelle, le devenir en écriture, l'actualité de son auteur dans ses liens et contacts avec le monde de l'édition. Un espace de partage de points de vue divers: des pierres plus où moins plates lancées au loin, pour susciter des ronds dans l'eau et en recevoir les échos.
lundi 11 avril 2016
Lucarne allumée
De l'Autre au ciel, de L'Etre à l'objet,
Qu'il soit rêve ou plénitude goûtée
A la fenêtre brumeuse des nuits sans sommeil,
Quand Aimer se fait imaginaire ravi,
L'or illumine l'hiver et la passion brûle l'azur
Un seul mot pour le plus haut, le même pour le plus bas
Un seul mot pour la Vie, regardée à l'envie,
La lucarne est allumée jusqu'aux firmaments gazeux,
A la merveille nous mène l'Infini.
Serge De La Torre
(Poème inspiré par le tableau de Martiros Hakopian - love 8 -
Diffusé sur Images et rêves (L'herbier de Poésie - proposition 40):
http://imagesreves.blogspot.fr/2016/04/lherbier-de-poesie-page-40.html?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed:+ImagesEtRves+(Images+et+r%C3%AAves)
https://plus.google.com/u/0/+MartirosHakopianMarHak/posts
dimanche 3 avril 2016
Le Pendu de Noël
Quand les destins se jouent sans logique, quand la force de vivre ne tient
à rien d'autre qu'à un souvenir, alors les mots ne suffisent plus.
Chaque
geste, ou bien vous perd, ou bien vous sauve.
A Natzwiller, il ne s'agissait pas de
savoir si l'on allait mourir ou non, mais quand et pourquoi?
« Tenir, c'était « vouloir
durer », tous ou presque ont voulu. Certains ont pu, d'autres
pas. » G. Charlet « Karawanken »
Camp de concentration de
Natzwiller-Struthof - Près de Strasbourg 19 décembre 1943 :
J'étais «nouveau» au block 12. Presque nouveau au camp !
Nous tremblions tous, cette nuit-là. Dehors soufflait entre les
baraquements sans chauffage le vent glacial de l'hiver. Nous étions cinq et
plus dans les châlits prévus pour trois.
Combien, à l'aube, ne se lèveraient pas?
Nos corps sales, dans nos costumes informes, s'emboîtaient les uns aux
autres : solidarité de survie. Impossible de dormir, pourtant!
Dans mon dos, à quelques mètres du réduit ou ronflait le kapo, Simon me dit
tout bas :
- Je sais ce que tu caches, je t'ai vu la regarder.
- Je t'en prie, ne dis rien.
J'avais la tête et le cœur brûlants, soudain !
- C'est grâce à elle,
si je «tiens»!
Etait-il un ami ou un ennemi ? J'étais fiévreux d'angoisse.
Au camp, on jugeait les hommes sur les actes, pas sur leurs mots.
C'est eux, pourtant qu'il me livra en premier.
Tard dans la nuit, parmi les bruits du sommeil des autres hommes, abrutis
de fatigue et de privation, parmi les cris désespérés de ceux que l'on
appelait, au camp, les « musulmans »(1)
(Ces pauvres hères ne trouvaient plus même à dormir en paix. La folie
propre aux camps les emportait bien avant la mort).
En chuchotant, il me raconta.
Plusieurs fois inquiété, pour ses origines mi- tziganes, mi- alsaciennes,
il avait fui avec Lizel, une jeune allemande, la politique haineuse du nazisme
montant en Alsace occupée.
Ensemble, ils avaient survécu dans une cabane de bois accrochée au flan
boisé d'une vallée des Vosges. Tous les deux payaient pourtant largement de
leur travail clandestin, les provisions trop légères que leur donnaient des fermiers.
Heureusement Lizel savait comme personne les faire durer.
Et puis, Fritzel leur était né, là, dans leur froide cabane de bois, sans
sage-femme, ni soins.
L'amour leur tenait pourtant chaud, et dans l'émerveillement, ils
oubliaient le reste.
Mais un matin de fin 41, les chiens et les soldats noirs de la Gestapo étaient
venus. Le bébé tétait encore le sein de sa mère.
«En application de la Loi de Nuremberg, pour la protection du sang
allemand!», ils avaient tué Fritzel sous leurs yeux, de quelques coups de
bottes. Malgré leurs cris horrifiés à tout deux. Lizel, tombée à terre, fut
longuement battue, avant d'être emmenée.
Plus tard, un des tortionnaires de Simon, au cours d'un interrogatoire se
fit plaisir à lui apprendre, qu'elle s'était, finalement, jetée d'une fenêtre
de la Kommandantur, après avoir été violentée.
Dans ce châlit puant, collé à cet homme qui n'avait, jamais encore, raconté
son histoire, j'ai pleuré cette nuit-là ! Je le jure. Rage et tristesse mêlée !
J'avais aux lèvres une furieuse envie de vomir! Mais dans nos boyaux, il n'y
avait rien à rendre, nos ventres étaient creux depuis trop longtemps !
Entre nous, s'étendit un long silence, avant que je ne lui raconte,
finalement, ma propre histoire. Une romance en comparaison!
Arrêté à Paris pour une double page que nous distribuions sous le manteau,
sur dénonciation d'un homme que je croyais mon ami…
Heureusement, j'avais eu le temps d'éloigner Louise et notre fille
Margot ! En zone libre à Dieulefit! C'était le nom du village. Ça fleurait
bon la divine protection. Nous en avions tous besoin, en ce temps-là. Bon
Dieu !....
Des heures durant, interrogé sur ma famille et mes contacts, j'avais
été roué de coups. Je fus sauvé du pire, peut-être, par le nombre
d'arrestations effectuées, ce jour-là. On m'avait finalement transféré.
Je l'ai ressenti un moment comme une délivrance : je n'avais pas craqué,
livré personne.
J'étais finalement arrivé à Schirmeck, au terme d'un voyage de deux
nuits et un jour. Dans un wagon à bestiaux où nous tenions à peine, sans air,
sans eau ni vivres. Debout contre moi, un vieil homme était, depuis
longtemps déjà, mort. Il était resté sans jamais tomber. Blanc, droit,
raide et froid, tant nous étions serrés.
Brisés avant d'arriver, on nous avait dépouillés de tout, nom,
honneur, habits, lunettes et jusqu'au plus infime bagage.
Je ne sais plus par quel miracle, durant tout ce périple, jusqu'ici, au
camp du Struthof, j'avais pu sauver une pâle photo de Louise et de la
petite Margot.
C'est elle, que Simon m'avait vu regarder.
Ma vie et ma dernière dignité tenaient ainsi dans ma main,
pensais-je : j'avais réussi à les faire entrer au camp.
Je me croyais même, ainsi, armé pour survivre à cet enfer et revoir, un
jour, leurs visages…
Simon me glissa, avant de se taire pour la nuit :
-Tu as de la chance, toi. Au moins, tu sais pourquoi vivre! Moi, je ne fais
plus que m'inventer des raisons.
La peur me tint encore longtemps éveillé.
Ici : « Partager un secret, c'était prendre un risque, énorme!».
Il en fallait si peu pour mourir, nous étions d'ailleurs là pour cela!
20/12/1943:
Lever brutal! Aboiements des chiens et des SS, dans le gris de l'aube.
Appel ! On nous avait mis en rang, nus sous la neige.
Blizzard et brouillard ! Deux heures sous les projecteurs qui
salissaient plus encore, le paysage de neige fondue ou de boue glacée!
Nos pieds nus, gelés, hurlaient de douleurs et nos bouches se
taisaient. Emettre un son, une plainte et c'était la mort assurée !
Parfois un homme tombait, il ne se lèverait plus : une balle dans la
nuque, au mieux.
Sinon c'était « l'infirmerie » ou pire une dernière promenade,
vers les douches, puis le four !
Tout cela, pour une pièce de lard, volée dans la réserve de notre block!
Ce ne pouvait bien être que l'un d'entre nous !
Lecture de la note du chef de camp. Un alsacien bilingue répétait pour
nous.
Oh ! le malheureux désigné ! Il avait intérêt à savoir crier, et
bien traduire.
Les coups de badine pleuvaient drus, ce matin :
«Si le coupable ne se dénonce pas, deux d'entre vous, pris au hasard,
seront pendus à Noël.» Sanction immédiate : vous n'aurez qu'une soupe de maïs pour
le repas du jour.
Avides malgré nous, un peu plus tard, Simon et moi y trempâmes le quignon
de pain noir qu'il avait gardé de la veille et partagé en deux parts
minuscules, mais égales :
Oh ! La salutaire prudence du prisonnier d'expérience!
Il était bien sûr brûlé le brouet, clair et presque froid!
La journée s'annonçait longue!
Il faudrait que le bouillon nous tienne au ventre jusqu'au lendemain.
Ici et là, des hommes épuisés pleuraient : chaque calorie en
moins était un pas de plus vers le dernier.
Et tous leurs regards criaient : « Je ne veux pas être pendu à
Noël. Je ne veux pas être pendu ! Ne serait-ce pas toi le voleur?»
Enfin presque tous! Les yeux des «musulmans », eux ne criaient plus rien.
***
Simon, à l'entrée de la carrière, où nous allions pour extraire des rochers
de granit rose plus lourds que nous, me montra des baies mauves (du
genièvre, je crois !), que le gel couvrait de blancheur :
«Mange-les!».
Plus tard, il me fit même avaler une limace:
« C'est contre la tuberculose et pour les forces! » put-il me
dire, avant de recevoir une grêlée de coups : pour m'avoir simplement
parlé.
Schmutzig(4) le kapo, de sa badine assassine, nous les administrait
avec une visible gourmandise.
Son visage poupin et imberbe, cachait bien sa nature.
C'était, pourtant, un prisonnier comme nous !
Mais sur sa veste, le triangle vert, parlait pour lui : criminel de
droit commun. Un allemand que les nazis, contre privilèges, avaient chargé de
la discipline : au chantier, comme au dortoir d'ailleurs!
Il mangeait bien mieux que nous, lui.
*****
Ce soir-là, à notre retour au baraquement, c'est lui qui nous mit une fois
encore au garde-à-vous dans le blizzard.
Nos yeux ne parvenaient plus à se détacher du gibet, qui sur le devant de
la place du rassemblement semblait nous faire d'aguichants clins d'œil.
« Bientôt ? Bientôt votre tour ! A Noël ? Qui viendra
danser avec moi sa dernière valse ? »
Schmutz(4) faisait monter la tension.
Peut-être un « musulman » ou deux, du fin bout de leur désespoir,
se dénonceraient-ils ?
Plusieurs craquaient, en effet, mais seulement par petites fissures !
C'est à petits pas répétés, que nous avancions tous vers la mort : nous qui
n'étions plus que des ombres d'hommes!
Certains mourraient de ne plus assez se nourrir, mais le plus souvent, les
S.S. soulageraient nos rangs, de leur violence aveugle.
Sur simple indication du kapo, par exemple. Souvent !
Les corps faisaient, alors, rougir un dernier moment, ces crématoires aux
gueules insatiables.
Ils ne s'éteignaient jamais, et leurs cheminées rejetaient, tout le jour,
leur inoubliable odeur.
C'étaient nos frères d'hier encore!
*******
Personne ne se dénonça pourtant ce jour-là !
Y avait-il même un coupable? Pas sûr !
Schmutzig finit par hurler :
- Die Wahrheit oder ein Geschenk! Morgen! Sonst werde ich euch hängen
lassen! Verstanden! Morgen! (2)
Nous avions compris !
Dans nos dénuements, il nous faudrait encore ponctionner de quoi soudoyer
ce vieux rat.
La nuit fut anxieuse : que donner?
Je n'avais eu depuis mon arrivée le temps de faire aucune réserve.
Ne me restait que mon habit trop léger, ma photo bien cachée, ma gamelle et
ma cuillère.
Je ne parvins absolument pas à dormir. La peur me tenait le ventre.
Comment ferai-je apparaître quelque chose qui put plaire à l'impitoyable
kapo, à partir de ce rien qui seul était mien?
*********
Le lendemain, notre file s'étira devant le kapo
glabre. Lamentable et douloureuse !
A chacun, il criait «Die Wahrheit oder ein geschenk!(2)»
Certains pleuraient en donnant un croûton coloré d'une ombre de confiture :
un trésor volé à la faim ordinaire : pour une fête ou des jours plus durs
encore.
Le kapo devenait plus exigeant chaque fois que les mêmes offrandes se
répétaient trop.
Il y eut soudain un remous dans la queue: un pauvre diable, sans rien à
donner, avait volé à son voisin sa vitale obole.
Schmutz (4) inscrivit aussitôt les noms des deux protagonistes sur sa
liste, simplement punis ou désignés aux SS?
Vaincu par la peur, un autre mouilla son pantalon alors qu'il attendait
dans la file : un candidat pour l'infirmerie, celui-là ! Inscris
aussitôt !
«Ne va jamais là! Ils font des expériences!» m'avertit Simon.
La panique avançait avec le rang, je n'avais toujours rien à donner. Une
idée germa pourtant.
L'infâme se contenterait-il de quelques bonnes histoires ? J'étais
prêt à en inventer, même des salaces, toutes à son goût... Simon pourrait
sans doute traduire?
Mais des Allemands, devant moi, avait eu la même idée.
Aucune chance: je n'avais plus rien! J’avais perdu le pouvoir sur mon
destin!
Sous le regard du kapo sadique, je me taisais. J'avais épuisé mes
propositions.
Intraitable, il prenait déjà dans sa main la maudite feuille des
désignés. Pas de doute. J'en serais!
Je rentrais déjà les épaules dans l'attente de l'inévitable. Alors,
derrière moi, Simon intervint, longuement, en allemand.
Schmutzig se leva, alla droit à ma cachette et revint, sourire aux lèvres,
lubrique : il tenait ma photo, tout baveux de plaisir.
Il reprit sa feuille en main, et nota nos deux matricules: sans appel
possible!
Le soir même, on nous cherchait pour interrogatoire.
Parodie! Vingt-quatre heures au cachot et vingt-cinq coups de fouet pour moi!
Le double de coups pour Simon! Allez savoir pourquoi ? Il n'y avait
aucune morale, aucune logique ni justice à espérer!
Lorsque dans la
nuit du 24, le dos à vif, nous nous retrouvâmes sur notre châlit, je souffrais la mort
pour la perte de mon petit trésor, presque plus que des zébrures boursoufflées
sur la chair de mon dos.
Disparu, le dernier lien avec le dehors.
- Traître ! Pleurnichai-je…
- Sans ça, t'étais mort! Imbécile! Tu comprends, mort!
Lâchement, je lui dis :
« Vaut parfois mieux être mort, que perdre son âme! »
- Ta photo, tu l'as dans le cœur. Et elles restent vivantes ! Et toi
aussi, idiot!
Puis, il se tut, enfermés que nous étions, dans nos douleurs et nos pensées
respectives!
Il avait raison, bien sûr ! Dix fois raison et moi définitivement tors !
Mais comment pouvais-je l'accepter, j'étais fou…
Derrière le drap qui l'isolait de nous autres et lui donnait un semblant
d'intimité, Schmutzig produisait des gloussements lubriques.
Alors, halluciné de haine, je me levai, titubant et nu-pieds, j'allai
l'observer un instant.
Un instant à peine ! Un instant suffit, puis me précipitai.
Devant ma photo, ce chien, lèvres grasses, et nu comme un vers, tenait un
gros bout de lard dans une main, et son sexe érigé dans l'autre.
Nul doute, quand à son activité.
Il ne m'avait pas vu venir et, par derrière, je le frappai de toutes mes
forces.
Il s'écroula, aussitôt, inconscient.
Simon était déjà là, il me tenait les épaules, ses yeux plantés dans les
miens :
- Tu ne veux donc pas vivre ? Il le faut pourtant : pour
elles, pour moi ! Je t'en prie ! Va te coucher, maintenant! Tu
n'as rien vu, tu ne sais rien! Rappelle-toi ! Elle s'appelait Lizel, et
lui Fritzel !».
Lui obéir, ou mourir aussi...Tel était le dilemme.
Vide et sans un mot, je me couchai.
- Hilfe! Hilfe!(3)
Simon ameutait déjà les SS ….
Le Noël de cette année-là:
A l'appel du matin, le corps déchiré par le fouet à clous, marqué d'un
« Schwein (5)! » rouge sur ses grosses fesses nues,
« Schmutzig » rampait depuis plus d'une heure, comme on le lui avait
demandé, en poussant des cris de gorets.
Lorsqu'il chercha finalement à se lever, pensant avoir expié et lassé
suffisamment son public SS pour obtenir son pardon, une balle de fusil lui
laboura l'abdomen.
Ses cris s'élevaient encore, bien que de plus en plus faibles, alors que
nous défilions cinq par cinq, notre calot plié à la main sous le gibet où
Simon, mon frère de vie, avait agonisé dans d'horribles spasmes durant
d'éternelles minutes.
Krammer, le chef du camp, impassible spectateur de toutes nos souffrances,
criait au vent ou à qui voulait l'écouter :
" Cela ne me fait rien, à moi, de vous faire pendre l'un après
l'autre, comme celui-là "
Dieu me vienne en aide!
J'avais des âmes, en plus de la mienne, à sauver !
Mes larmes jamais n'épuiseront ce devoir.
Même les rires de Louise, Margot, ni ceux de Simon, Fritzel et Lizel, nos
trois derniers nés, n'effaceront jamais rien.
A peine, puis-je en parler !
Et comment leur en parler ?
Il nous fallut encore chanter Noël, ce jour-là !
« Les anges dans nos campagnes » (6) et puis « Douce
Nuit » : Les airs préférés des SS …
(1) Müselman ou Musulman : prisonnier dans un
tel état de désintégration psychique et physique, qu'ils perdaient même de sens
du nécessaire à leur propre survie
(2) Demain! La vérité ou un
cadeau! Sinon, vous serez pendu!
(3) A l'aide!
(4) Schmutzig (« graisseux » comme nom
commun !), schmutz (« un baiser » si c'est un nom, et
« gras » si c'est un adjectif)
(5) Cochon !
(6) Ce chant français est souvent chanté en
Allemand, quant « Douce nuit, sainte nuit est un chant autrichien, chanté
en France.
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